
Dans le cadre d’une initiative décisive visant la modernisation de l’agriculture et l’amélioration des moyens de subsistance des populations rurales, le président Adama Barrow a tenu une promesse clé faite aux agriculteurs gambiens en leur remettant officiellement 60 tracteurs et accessoires dans le cadre de la campagne de mécanisation menée par son gouvernement.
La cérémonie, qui s’est déroulée à la Résidence Présidentielle de Banjul, a réuni des agriculteurs, des dirigeants locaux et des représentants du gouvernement, qui ont salué cette initiative comme un tournant pour le secteur agricole du pays.
La livraison des tracteurs s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale plus large visant à transformer les pratiques agricoles traditionnelles, à accroître la productivité et à garantir l’autosuffisance alimentaire. Les agriculteurs ont accueilli cette initiative avec optimisme, y voyant un signe tangible de l’engagement du gouvernement à transformer le secteur agricole et à tenir ses promesses.
Rappelons que lors d’une de ses tournées « Meet the People (A la Rencontre du Peuple) », le président gambien avait annoncé le projet de son administration d›acquérir 200 tracteurs pour les agriculteurs, et ce, en vue de les aider à surmonter leurs difficultés. Les dignitaires du gouvernement ont déclaré que la remise des tracteurs aujourd’hui est une manifestation évidente de cet engagement.
L’initiative repose sur un modèle de cofinancement et de cogestion, conçu pour promouvoir l’appropriation, la durabilité et la responsabilité entre le gouvernement et les agriculteurs bénéficiaires. Dans le cadre de cet accord, les agriculteurs doivent verser un acompte de 25 % avant de recevoir un tracteur. Le gouvernement apportera une contribution supplémentaire de 25 %, tandis que les 50 % restants seront financés et remboursés par les agriculteurs sur une période de quatre ans.
Les 60 tracteurs font partie d’un total de 180 qui seront achetés par le gouvernement et distribués aux agriculteurs. Cette initiative vise à compléter leurs efforts, à stimuler le rendement et la production agricoles et à faire en sorte que les défis liés à la main-d’œuvre auxquels ils étaient auparavant confrontés appartiennent désormais au passé.
Les responsables ont déclaré que les 60 tracteurs, d’une puissance de 75 chevaux chacun, sont accompagnés de 18 herses à disques et de 10 remorques basculantes. À ces équipements s’ajoutent d’autres outils modernes, tels que des motoculteurs, des semoirs et des planteuses.
Le programme de mécanisation devrait réduire considérablement la charge de travail des agriculteurs, améliorer les rendements et encourager la participation des jeunes à l’agriculture. Avec plus de 70 % des Gambiens qui dépendent de l’agriculture pour leur subsistance, l’introduction d’équipements modernes est considérée comme essentielle pour libérer tout le potentiel du secteur.
Les responsables du groupe Yonna, qui cofinance 50 % des tracteurs, ont déclaré que cette initiative représentait plus qu’une simple opération commerciale : elle reflétait leur investissement à long terme dans la prospérité de la Gambie. Ils ont ajouté qu’ils investissaient leur capital dans un secteur plein de potentiel, démontrant ainsi leur confiance dans nos agriculteurs et le potentiel agricole du pays par un engagement financier substantiel.
S’adressant à l’assemblée, le président Barrow a réaffirmé l’engagement de son administration à relever les défis auxquels sont confrontés les agriculteurs gambiens, soulignant que l’agriculture reste le pilier de l’économie nationale.
« Cet événement marque une nouvelle étape importante dans les efforts de mon gouvernement pour la modernisation de l’agriculture dans le pays et dans notre cheminement collectif vers l’autosuffisance alimentaire à l’échelle nationale », a-t-il déclaré.
Il a ajouté : « Les équipements présentés ici font partie d’un ensemble plus vaste de 180 tracteurs et accessoires que le gouvernement, par l’intermédiaire du Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Sécurité Alimentaire, a acquis pour nos communautés agricoles. Je félicite Yonna Agribusiness, le fournisseur, pour sa collaboration dans la réalisation de cet objectif.»
La distribution de ces tracteurs, a poursuivi le président Barrow, réaffirme la détermination irréversible de son gouvernement à transformer l’agriculture en un secteur mécanisé, efficace et axé sur les affaires.
« La mécanisation est indispensable si nous voulons nourrir notre population croissante, créer des emplois pour nos jeunes et réduire notre facture d›importation. Cependant, pour en tirer le meilleur parti, nous devons mécaniser de manière responsable, transparente et durable. C›est pourquoi un modèle de cofinancement a été mis en place afin de garantir l›appropriation et la responsabilité tant du gouvernement que des bénéficiaires de l’initiative. »
Le président Barrow a ajouté : « Dans le cadre de cet accord, le gouvernement gambien prendra en charge 25 % du coût total, tandis que les agriculteurs ou groupes d’agriculteurs bénéficiaires verseront 25 % à l’avance pour recevoir un tracteur et ses outils. Les 50 % restants seront payables sur une période de quatre ans, le gouvernement agissant en tant que garant. »
« Afin de protéger cet investissement, le Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Sécurité Alimentaire et l’agriculteur signeront un accord contractuel. Celui-ci couvrira les questions de gestion, les modalités de remboursement et les fonctions de contrôle. Les services d’ingénierie agricole du ministère élaboreront et mettront en œuvre un plan d’entretien et de réparation. »
« Nous ne devons permettre à personne de gaspiller ou de mal gérer ces investissements publics. Ces tracteurs ne sont pas des cadeaux. Ce sont des instruments de croissance, acquis dans le cadre d›une responsabilité partagée en matière de service et de productivité maximale. Par conséquent, toute violation d›un accord contractuel peut entraîner le retrait du matériel ou l›application d›autres mesures appropriées. »
Mohammad Manjang, président du groupe Yonna, a souligné l’importance des tracteurs dans la quête d’autosuffisance alimentaire du pays, ajoutant :
« Ces tracteurs s›attaquent aux causes profondes de la pauvreté rurale qui ont poussé bon nombre de nos jeunes à chercher des opportunités ailleurs, souvent en empruntant des chemins périlleux. Lorsque l›agriculture devient productive et rentable, elle crée des effets substantiels qui transforment des communautés entières. »
Il a poursuivi : « La Gambie dépense chaque année des millions pour importer des denrées alimentaires que nous pouvons produire localement. Cette dépendance sape notre souveraineté et expose notre population aux fluctuations des prix mondiaux. Ces tracteurs représentent notre marche vers l’autosuffisance alimentaire. »
« Grâce à la mécanisation, les agriculteurs peuvent augmenter considérablement leurs rendements. Alors qu›auparavant, un agriculteur cultivait deux hectares à la main, ces tracteurs permettent de cultiver 10 hectares ou plus. Cela signifie l›autosuffisance en riz et une réduction des importations coûteuses. La production excédentaire génère des devises étrangères grâce aux exportations, la stabilité des prix protège les consommateurs de la volatilité des marchés internationaux et la sécurité alimentaire garantit qu›aucun Gambien ne souffre de la faim. »
Mr Alhagie Ceesay, s’exprimant au nom des agriculteurs gambiens, a souligné l’impact transformateur des tracteurs sur la productivité agricole, déclarant :
« Si nous produisions huit sacs à la main, avec l›aide de ces tracteurs, nous en produirons des dizaines. »
Mr Ceesay a ensuite félicité l’administration du président Barrow pour ce qu’il a qualifié de « soutien sans précédent » apporté à la communauté agricole depuis son arrivée au pouvoir. Il s’est montré optimiste quant à l’avenir de l’agriculture en Gambie, soulignant :
« Si ce soutien se poursuit, chaque exploitation agricole du pays disposera probablement d’un tracteur. »
Il a également souligné les progrès enregistrés dans le domaine de l’accès aux engrais et aux prix du marché, déclarant :
« Nous avons suffisamment d›engrais, vendus à des prix abordables. Nos arachides sont achetées à des prix plus élevés que dans les pays voisins. »
Mr Ceesay a conclu en exhortant les agriculteurs à s’approprier le matériel fourni et à garantir la pérennité du projet d’acquisition et de manutention des tracteurs.
La cérémonie, qui s’est déroulée à la Résidence Présidentielle de Banjul, a réuni des agriculteurs, des dirigeants locaux et des représentants du gouvernement, qui ont salué cette initiative comme un tournant pour le secteur agricole du pays.
La livraison des tracteurs s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale plus large visant à transformer les pratiques agricoles traditionnelles, à accroître la productivité et à garantir l’autosuffisance alimentaire. Les agriculteurs ont accueilli cette initiative avec optimisme, y voyant un signe tangible de l’engagement du gouvernement à transformer le secteur agricole et à tenir ses promesses.
Rappelons que lors d’une de ses tournées « Meet the People (A la Rencontre du Peuple) », le président gambien avait annoncé le projet de son administration d›acquérir 200 tracteurs pour les agriculteurs, et ce, en vue de les aider à surmonter leurs difficultés. Les dignitaires du gouvernement ont déclaré que la remise des tracteurs aujourd’hui est une manifestation évidente de cet engagement.
L’initiative repose sur un modèle de cofinancement et de cogestion, conçu pour promouvoir l’appropriation, la durabilité et la responsabilité entre le gouvernement et les agriculteurs bénéficiaires. Dans le cadre de cet accord, les agriculteurs doivent verser un acompte de 25 % avant de recevoir un tracteur. Le gouvernement apportera une contribution supplémentaire de 25 %, tandis que les 50 % restants seront financés et remboursés par les agriculteurs sur une période de quatre ans.
Les 60 tracteurs font partie d’un total de 180 qui seront achetés par le gouvernement et distribués aux agriculteurs. Cette initiative vise à compléter leurs efforts, à stimuler le rendement et la production agricoles et à faire en sorte que les défis liés à la main-d’œuvre auxquels ils étaient auparavant confrontés appartiennent désormais au passé.
Les responsables ont déclaré que les 60 tracteurs, d’une puissance de 75 chevaux chacun, sont accompagnés de 18 herses à disques et de 10 remorques basculantes. À ces équipements s’ajoutent d’autres outils modernes, tels que des motoculteurs, des semoirs et des planteuses.
Le programme de mécanisation devrait réduire considérablement la charge de travail des agriculteurs, améliorer les rendements et encourager la participation des jeunes à l’agriculture. Avec plus de 70 % des Gambiens qui dépendent de l’agriculture pour leur subsistance, l’introduction d’équipements modernes est considérée comme essentielle pour libérer tout le potentiel du secteur.
Les responsables du groupe Yonna, qui cofinance 50 % des tracteurs, ont déclaré que cette initiative représentait plus qu’une simple opération commerciale : elle reflétait leur investissement à long terme dans la prospérité de la Gambie. Ils ont ajouté qu’ils investissaient leur capital dans un secteur plein de potentiel, démontrant ainsi leur confiance dans nos agriculteurs et le potentiel agricole du pays par un engagement financier substantiel.
S’adressant à l’assemblée, le président Barrow a réaffirmé l’engagement de son administration à relever les défis auxquels sont confrontés les agriculteurs gambiens, soulignant que l’agriculture reste le pilier de l’économie nationale.
« Cet événement marque une nouvelle étape importante dans les efforts de mon gouvernement pour la modernisation de l’agriculture dans le pays et dans notre cheminement collectif vers l’autosuffisance alimentaire à l’échelle nationale », a-t-il déclaré.
Il a ajouté : « Les équipements présentés ici font partie d’un ensemble plus vaste de 180 tracteurs et accessoires que le gouvernement, par l’intermédiaire du Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Sécurité Alimentaire, a acquis pour nos communautés agricoles. Je félicite Yonna Agribusiness, le fournisseur, pour sa collaboration dans la réalisation de cet objectif.»
La distribution de ces tracteurs, a poursuivi le président Barrow, réaffirme la détermination irréversible de son gouvernement à transformer l’agriculture en un secteur mécanisé, efficace et axé sur les affaires.
« La mécanisation est indispensable si nous voulons nourrir notre population croissante, créer des emplois pour nos jeunes et réduire notre facture d›importation. Cependant, pour en tirer le meilleur parti, nous devons mécaniser de manière responsable, transparente et durable. C›est pourquoi un modèle de cofinancement a été mis en place afin de garantir l›appropriation et la responsabilité tant du gouvernement que des bénéficiaires de l’initiative. »
Le président Barrow a ajouté : « Dans le cadre de cet accord, le gouvernement gambien prendra en charge 25 % du coût total, tandis que les agriculteurs ou groupes d’agriculteurs bénéficiaires verseront 25 % à l’avance pour recevoir un tracteur et ses outils. Les 50 % restants seront payables sur une période de quatre ans, le gouvernement agissant en tant que garant. »
« Afin de protéger cet investissement, le Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Sécurité Alimentaire et l’agriculteur signeront un accord contractuel. Celui-ci couvrira les questions de gestion, les modalités de remboursement et les fonctions de contrôle. Les services d’ingénierie agricole du ministère élaboreront et mettront en œuvre un plan d’entretien et de réparation. »
« Nous ne devons permettre à personne de gaspiller ou de mal gérer ces investissements publics. Ces tracteurs ne sont pas des cadeaux. Ce sont des instruments de croissance, acquis dans le cadre d›une responsabilité partagée en matière de service et de productivité maximale. Par conséquent, toute violation d›un accord contractuel peut entraîner le retrait du matériel ou l›application d›autres mesures appropriées. »
Mohammad Manjang, président du groupe Yonna, a souligné l’importance des tracteurs dans la quête d’autosuffisance alimentaire du pays, ajoutant :
« Ces tracteurs s›attaquent aux causes profondes de la pauvreté rurale qui ont poussé bon nombre de nos jeunes à chercher des opportunités ailleurs, souvent en empruntant des chemins périlleux. Lorsque l›agriculture devient productive et rentable, elle crée des effets substantiels qui transforment des communautés entières. »
Il a poursuivi : « La Gambie dépense chaque année des millions pour importer des denrées alimentaires que nous pouvons produire localement. Cette dépendance sape notre souveraineté et expose notre population aux fluctuations des prix mondiaux. Ces tracteurs représentent notre marche vers l’autosuffisance alimentaire. »
« Grâce à la mécanisation, les agriculteurs peuvent augmenter considérablement leurs rendements. Alors qu›auparavant, un agriculteur cultivait deux hectares à la main, ces tracteurs permettent de cultiver 10 hectares ou plus. Cela signifie l›autosuffisance en riz et une réduction des importations coûteuses. La production excédentaire génère des devises étrangères grâce aux exportations, la stabilité des prix protège les consommateurs de la volatilité des marchés internationaux et la sécurité alimentaire garantit qu›aucun Gambien ne souffre de la faim. »
Mr Alhagie Ceesay, s’exprimant au nom des agriculteurs gambiens, a souligné l’impact transformateur des tracteurs sur la productivité agricole, déclarant :
« Si nous produisions huit sacs à la main, avec l›aide de ces tracteurs, nous en produirons des dizaines. »
Mr Ceesay a ensuite félicité l’administration du président Barrow pour ce qu’il a qualifié de « soutien sans précédent » apporté à la communauté agricole depuis son arrivée au pouvoir. Il s’est montré optimiste quant à l’avenir de l’agriculture en Gambie, soulignant :
« Si ce soutien se poursuit, chaque exploitation agricole du pays disposera probablement d’un tracteur. »
Il a également souligné les progrès enregistrés dans le domaine de l’accès aux engrais et aux prix du marché, déclarant :
« Nous avons suffisamment d›engrais, vendus à des prix abordables. Nos arachides sont achetées à des prix plus élevés que dans les pays voisins. »
Mr Ceesay a conclu en exhortant les agriculteurs à s’approprier le matériel fourni et à garantir la pérennité du projet d’acquisition et de manutention des tracteurs.