
L’Assemblée Nationale a promulgué hier la Loi Electorale 2025. Cette nouvelle loi double les droits d’enregistrement des partis politiques, qui passent effectivement de 1 million à 2 millions de dalasis – une démarche qui, selon les détracteurs, pourrait asphyxier les petits partis politiques et réduire au silence les voies alternatives de la démocratie en Gambie.
Le projet de loi, déposé par le Ministre de l’Enseignement Supérieur, Prof. Pierre Gomez, au nom du Ministre de la Justice, a été promulgué le lundi avec 23 membres de l’Assemblée Nationale votant pour et 14 membres votant contre après troisième lecture.
Selon le Professeur Gomez, cette nouvelle Loi Electorale vise l’abrogation de l’ancienne Loi Electorale, jugée archaïque, et introduit un nouveau cadre juridique destiné à la sauvegarde des « principes cardinaux de liberté et de transparence électorale » en Gambie.
Le projet de loi indique des procédures claires pour l’analyse et la publication des résultats électoraux, mettant ainsi un accent sur la responsabilité qui incombe à La Commission Electorale Indépendante (CEI) de garantir la transparence du processus électoral. Pour la première fois, le président de la Commission Electorale Indépendante (CEI) devra fournir une analyse détaillée des résultats lors de ses proclamations publiques, une mesure qui, selon le gouvernement, renforcera la confiance publique quant à l’authenticité des résultats.
La promulgation de la Loi Electorale 2025 arrive à un moment tendu de la vie politique gambienne, et ce, dans la mesure où le pays s’apprête à aller aux élections l’année prochaine dans un contexte de scepticisme concernant la gouvernance, la responsabilisation et la transparence.
Le projet de loi, déposé par le Ministre de l’Enseignement Supérieur, Prof. Pierre Gomez, au nom du Ministre de la Justice, a été promulgué le lundi avec 23 membres de l’Assemblée Nationale votant pour et 14 membres votant contre après troisième lecture.
Selon le Professeur Gomez, cette nouvelle Loi Electorale vise l’abrogation de l’ancienne Loi Electorale, jugée archaïque, et introduit un nouveau cadre juridique destiné à la sauvegarde des « principes cardinaux de liberté et de transparence électorale » en Gambie.
Le projet de loi indique des procédures claires pour l’analyse et la publication des résultats électoraux, mettant ainsi un accent sur la responsabilité qui incombe à La Commission Electorale Indépendante (CEI) de garantir la transparence du processus électoral. Pour la première fois, le président de la Commission Electorale Indépendante (CEI) devra fournir une analyse détaillée des résultats lors de ses proclamations publiques, une mesure qui, selon le gouvernement, renforcera la confiance publique quant à l’authenticité des résultats.
La promulgation de la Loi Electorale 2025 arrive à un moment tendu de la vie politique gambienne, et ce, dans la mesure où le pays s’apprête à aller aux élections l’année prochaine dans un contexte de scepticisme concernant la gouvernance, la responsabilisation et la transparence.
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